

Jésus, après sa mort et sa Résurrection, apparaît une dernière fois à ses amis les disciples. Sous leurs yeux, il s’élève vers le ciel où il va rejoindre Dieu son Père. Un moment mystérieux que nous racontent les Évangiles de Marc et Luc et les Actes des Apôtres.
l’Ascension a lieu le quarantième jour après Pâques. C’est pourquoi elle est célébrée chaque année le jeudi de la 6ème semaine après Pâques. La fête de l’Ascension est indissociable de celui de Pâques : le Christ ressuscité rencontre les apôtres une dernière fois. Il leur demande d’annoncer la bonne nouvelle de la Résurrection aux hommes de toutes les nations. le Christ n’est plus visible aux yeux des hommes, Il est présent dans les sacrements, et tout particulièrement celui de l’Eucharistie.
Jésus explique à ses disciples que même s’ils ne le voient plus de leurs yeux, il ne les abandonne pas. Il va leur envoyer la force de son Esprit saint pour les accompagner partout où ils iront pour annoncer cette nouvelle. Comme il le fait pour les Apôtres, Jésus nous accompagne dans nos vies même si nous ne pouvons pas le voir.
En ce jeudi de l’Ascension, l’Évangile selon saint Matthieu te propose de relire cette parole de Jésus : « Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. » Oui, il est avec toi, avec moi… Jésus se tient et frappe à la porte de notre cœur à chaque instant. Et si on lui ouvrait cette porte ?
Dans notre cœur, nous gardons les paroles des gens que nous aimons.
Jésus, par amour, nous demande de garder ses paroles.
Et grâce à l’Esprit Saint, Dieu le Père et Jésus habitent notre cœur.
La paix ! Jésus nous en parle beaucoup dans l’évangile. Voilà ce qu’il veut pour tous les hommes. Vivre en paix. Et pourtant combien de guerres et de conflits depuis que le monde est monde ! La paix est difficile à gagner, à tenir, à garder… dans le monde et dans nos cœurs aussi. La paix, quel grand défi ! Et pourtant, c’est elle qui nous rend heureux… Alors, est-ce que je veux faire tout mon possible pour que grandisse la paix ?
prière de Saint François d’Assise :
“Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
Les disciples se sont enfermés, car ils ont peur d’être arrêtés et condamnés comme Jésus. Jésus vient au milieu d’eux pour apaiser leur peur. Il leur dit : “La paix soit avec vous.” Ce jour-là, l’un d’entre eux, Thomas n’était pas là. Il ne croit pas les disciples quand ils lui disent avoir vu Jésus.
Jésus, je suis un peu comme saint Thomas.
Je suis plein de questions et de doutes.
Aide-moi à croire sans te voir.
Aide-moi à te faire confiance.
Aide-moi à suivre tous ces croyants,
qui, au long des siècles, ont cru en toi.
La célébration de la fête de Pâques est l’occasion pour les chrétiens de renouveler leur profession de foi baptismale. C’est la raison pour laquelle les adultes demandant le baptême (les catéchumènes) sont baptisés dans leurs paroisses pendant la Vigile pascale. Le cierge pascal, symbole de la présence du Christ, est alors allumé et brillera du dimanche de Pâques à celui de la Pentecôte.
Venez et voyez, soyez dans la joie !
Alléluia ! Alléluia !
Jésus Christ est ressuscité !
Jésus entre dans Jérusalem. La foule l’acclame.
Pour elle, il est l’Envoyé de Dieu. D’autres pensent que Jésus
est un imposteur, et ils le condamnent à mourir sur une croix.
Mais Dieu n’abandonne pas ceux qui croient en lui.
Dimanche, tu as entendu deux évangiles. Le premier raconte l’entrée de Jésus à Jérusalem monté sur le dos d’un petit âne. Il est acclamé par les habitants qui agitent des rameaux. À ton tour, tu brandiras un rameau et tu entreras en procession dans l’église.
Le second évangile, c’est celui de la Passion de Jésus. Il ouvre la Semaine sainte. Dans cet Évangile, tu écouteras le récit de l’arrestation de Jésus, son procès, sa crucifixion et sa mort sur la croix.
Sur le chemin qui le mène vers le calvaire, Jésus avance, tombe, se relève, tombe encore… Sur sa route, Simon de Cyrène l’aide à porter sa croix.
Aimer comme Jésus aime, c’est accepter l’autre comme il est, et ce n’est pas toujours facile. Toi aussi, tu as peut-être été ami avec quelqu’un qui t’a laissé tomber, tu en as souffert. Mais tu as essayé de rencontrer d’autres personnes avec qui tu es devenu ami, tu as fait des efforts pour être plus attentif à ton nouvel ami.
Pour toi, cela veut dire quoi aimer ?
Jésus, tu n’as pas cherché à mourir.
Tu as eu le courage
de regarder la mort en face.
Tu as fait confiance à ton Père
pour passer à la vraie vie auprès de lui.
Jésus, merci pour ton amour,
bien plus grand que la peur.
Dans l’Evangile les scribes et les pharisiens amènent à Jésus une femme qui a commis un péché. Ils essaient de mettre Jésus dans l’embarras en lui demandant d’appliquer la loi et d’ordonner qu’on lapide la femme. Mais Jésus répond : “Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre.” Alors les scribes et les pharisiens s’en vont un par.
“Un par un” : Jésus t’invite à agir personnellement. Quand tu dis “je”, cela veut dire que tu as réfléchi et que tu agis selon ta conscience. Cela t’engage.
Qu’est-ce qui, parfois, t’empêche de dire “je” ? C’est plus facile de dire à l’autre “Tu as tort”, cela t’évite de réfléchir, ou tu as peur du regard des autres…
Plutôt que de regarder les fautes des autres, penses-tu d’abord à regarder les tiennes ?
Jésus, quel drôle de juge tu es !
Beaucoup de gens croient
que tu es venu pour nous condamner.
Mais, toi, tu te tais.
Tu veux toujours nous sauver.
Jésus, tu es formidable !
Jésus apprends-moi a pardonner , A ne pas juger.
Par amour, Dieu nous donne ce dont nous avons besoin. Dieu offre
aux fils d’Israël une terre et de quoi vivre. Pour nous montrer la tendresse
que Dieu a pour nous, Jésus raconte la parabole des deux fils.
Au milieu de ce Carême, la parabole du fils prodigue fait résonner un appel à la réconciliation. Le Christ nous invite à faire la paix avec nous-mêmes, à vivre dans l’harmonie et la solidarité, et à accueillir
le doux pardon du Père de tendresse. Redoublons de compréhension les uns envers les autres. La fête de la vie n’en sera que plus belle.
Dieu notre Père, nous te bénissons car tu es pour nous un Dieu plein de tendresse et d’amour. Merci.
Jésus, parfois je suis fidèle
comme le fils aîné de la parabole.
Parfois, je suis le fils plus jeune
qui fait des bêtises.
Quand je reviens vers toi,
tu m’accueilles à bras ouverts.
Merci Jésus.
Le Carême est un temps pour nous rapprocher de Dieu.
Être ami de Dieu, comme Moïse, c’est accepter d’écouter sa parole.
Jésus rappelle qu’il faut tourner son cœur vers Dieu.
Dieu notre Père, nous te bénissons. Tu es un Dieu patient qui attend que nous changions notre cœur et nous donne la chance de nous convertir. Merci de tant nous aimer.
« celui-ci est mon fils, celui que j’ai choisie : écoutez-le ! »
Dieu notre Père nous te bénissons.
Comme à Pierre, Jacques et Jean.
Donne -nous de contempler ton fils dans la Gloire,
pour que nous ayons la force dans les épreuves .
Donne-nous de le reconnaître sur les visages des personnes qui souffrent.
AMEN!